L'ascenseur... qu'il est chaud l'ascenseur !

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il y a 6 ans

J'étais prête à partir lorsque le téléphone sonne.

« -Allô?

-Coucou Sofia, c'est Marguerite ! Ca va ?

-Ah, c'est toi ! Ca va bien merci et toi ?

-Ca va. Dis-moi, tu fais quelque chose cette après- midi ?

-Heu… à vrai dire, je partais faire des courses.

-Très bien on va aller les faire ensemble !

-D'accord, mais … où ça ?

-Surprise, je passe te chercher dans un quart d'heure.

-Ok …»

Je m'assis alors sur le canapé, attendant que le temps passe. Deux minutes plus tard, je me rends compte que j'ai oublié d'aller chercher des sous.

Me pressant pour aller prendre l'ascenseur, un peu vieux, je tombai nez-à-nez avec mon jeune voisin d'une vingtaine à peine…

« -Bonjour ! me lança-t-il, pendant que nous attendions l'élévateur.

-Bonjour.

-Ca va ?

-Oui, ça va.

-Vous avez l'air agacée. Que se passe-t-il ?

-Je suis surtout pressée. Mon amie vient me chercher dans dix minutes et je n'ai pas encore retiré mes sous.»

Durant le silence qui suivit ma dernière parole, l'ascenseur arriva.

« -Vous devriez descendre à pied, c'est plus prudent, avec cette antiquité.

-Vous me voyez vraiment descendre huit étages en talons ?

-Non, évidemment que non…»

Nous entrâmes dans l'ascenseur, presque collés l'un à l'autre. L'élévateur était si petit qu'il ne pouvait faire entrer que deux personnes à la fois. Septième étage, sixième, cinquième, quatrième… puis un choc se fait ressentir.

« -Oh non…

-Je vous avais prévenue !» me dit-il avec un sourire digne de James Bond.

Je m'assis alors à même le sol, essayant de couvrir mes jambes au maximum avec ma petite jupe légère.

« -Vous permettez que je m'asseye également ?

-Faites, faites…» dis-je avec un ton un peu lassé.

Il s'assied à côté de moi, un pied contre la porte, l'autre à plat par terre. Il m'offrait une sublime vue de la bosse qui l'habitait au niveau du pantalon.

« -Je vous fais tant d'effet que ça ?

-Pardon?

-Votre bosse.»

Il me répondit d'un sourire gêné puis changea de position, de manière à ce que je ne voie pas cet aspect-là. Je me tournai vers lui, de façon à être en face à face avec lui.

« -Ce n'est pas une honte, vous savez… de plus, nous sommes dans un ascenseur, seuls … et il n'y a rien d'autre à faire.

-C'est que…»

Je ne lui permis pas d'en dire plus et m'approchai de son visage, jusqu'à coller ma bouche à la sienne, ma main passait de sa jambe à son entrejambe, assez rapidement, puis exerçait une légère pression sur la bosse qui l'envahissait.

Puis, timidement, je sentis une main me frôler, glissant sur mon chemisier, sur mes hanches, puis sur mes fesses. Sa main devenait tout de suite moins timide. Tantôt il me serrait les fesses – j'étais agenouillée près de lui, cambrée tant ses caresses donnaient à mon corps l'envie de lui arracher ses vêtements pour me jeter sur son bout de chair toute entière.

Je défaisais la ceinture, pendant qu'il passait ses habiles mains sous ma mini-jupe, et tentait d'accéder à mon cul – chose qui me déplaisait très peu. Alors qu'il me titillait l'entrée, j'ouvrais son pantalon afin de venir saisir un peu mieux son gourdin, qui, me semblait-il, était le plus gros que je n'aie jamais vu ou senti.

Mes yeux s'illuminèrent lorsque je me baissais pour venir prendre cet engin en bouche. D'une dureté incroyable, et d'un suc d'une saveur exquise, ce phallus devait être le fantasme de toutes les femmes.

Tandis que je m'activais sur sa queue, ses doigts travaillaient à me donner de l'excitation. Tantôt il s'occupait de l'entrée de mon anus, tantôt il me caressait au pubis ou à l'entrée de mon vagin.

Cela me faisait beaucoup d'effet, à tel point que je me levai et lui présentai mon string, qu'il fit descendre tout naturellement, dévorant de ses yeux ce qui était au-dessus de lui. Puis, timidement, vint sentir l'odeur qui s'en dégageait. Une léchouille, deux léchouilles… puis il devint ivre de mon nectar. Il me léchait jusqu'à n'en plus pouvoir et espérait me sentir jouir sous sa langue. Je sentais qu'il adorait ça. Il me fallut un petit temps avant d'y arriver, mais il y réussit à me faire cambrer sous sa langue.

Me sentant satisfaite de son coup de langue, il se leva, de manière à être dos à moi. Je sentis ses deux mains venir attraper mes hanches. Sa matraque, toujours dehors, toujours au garde-à-vous, vint se poster entre mes jambes, puis, comme pour désigner son envie, fit un mouvement de va-et-vient.

Son sexe me chatouillait le clitoris, donnant une envie folle à mon corps de le faire entrer en moi. Ma main vint alors saisir sa verge afin de la guider sur le bon chemin... et je l'entendis pousser un râle.

« -Ohhhh... comme c'est bon, s'exclama-t-il.

-Hmmmmm ouiii... comme ça, vas-y ! han... mmh...»

Je le sentais accélérer, puis ralentir... puis se retirer, se branler à l'entrée de mon vagin. Puis il revenait faire le marteau-piqueur ... J'adorais ça.

Vint le fatidique moment où... évidemment... il ne tarda pas à être proche de la jouissance. M'agenouillant alors, je me mis à le branler et à le sucer en même temps.

Je sentis quelques secondes plus tard son liquide envahir l'intérieur de ma bouche... Il était plutôt amer, avec un petit arrière-goût sucré.

Lui souriant et déglutissant avec gourmandise, je me redressai pendant qu'il remettait en place son sexe à l'intérieur de son pantalon. Il me lança un timide « merci » auquel je ne prêtai pas trop attention.

L'ascenseur n'avait toujours pas bougé... et n'avait pas l'air de vouloir bouger. Zut, mon téléphone... je me rendai compte que je l'avais oublié chez moi. Marguerite devait essayer de m'appeler depuis le temps ...

Je me rassis alors, assez ennuyée de la situation.

« -Vous avez un téléphone ?

-Non, je l'ai oublié en haut... et vous ?

-Egalement...

-Bon... qu'est-ce qu'on fait ? Demanda-t-il.

-Bah, je sais pas...

-La sonnette ne marche même pas... Il doit bien y avoir quelqu'un qui puisse nous entendre ici, non !?

-Déjà essayé l'an dernier. Cette cabine est vieille, mais c'qu'elle est blindée...

-Blindée, vous dites ? »

Il avait alors changé de ton... Il avait pris une voix plutôt rauque, comme pour tenter de charmer quelqu'un.

« -Oui, blindée... »

J'eus à peine le temps de finir ma phrase que ses mains s'affairaient à sa braguette et branlaient son sexe à travers le tissu.

« -Vous abusez...

-Ah oui ? Ce n'est pas moi qui me suis jeté sur vous...

-Même si c'était le cas, vous abuseriez. »

Il ressortit alors son géant, qu'il me présenta devant ma bouche. Il se branlait... pendant que je le regardais.

Son sexe se rapprochait dangereusement de ma bouche... je finis par craquer. Ce n'est pas tous les jours qu'on pouvait s'amuser avec un jouet aussi gros...

J'engloutis son muscle d'un seul coup et l'entendis encore pousser un râle.

« -Mmmh... Sale chienne, va !

-Eh mais, de quel droit vous perm... »

Je n'eus même pas le temps de finir ma phrase qu'il me donna une gifle avec son gourdin et qu'il me releva d'un coup et me plaqua contre la paroi de l'élévateur.

« -Je sais que t'aime ça, cochonne...

-Qu'est-ce que vous faites !? »

Je sentis un doigt venir s'enfoncer dans ma bouche...

« -Suce-moi ça, p'tite conne... »

Je me sentais assez mal... mais en fin de compte, c'était plutôt excitant.

Je lui suçais deux de ses doigts, toujours collée à la paroi par sa main gauche.

Il se rapprocha de moi, collant son sexe contre mes fesses, retira ses doigts de ma bouche pour venir me les mettre dans l'anus.

« -Je ... ne ... aaah... »

J'avais beau protester, je ne pouvais que succomber au plaisir.

« -Tais-toi, petite pute. Je sais que t'aime ça.

Sa main gauche vint alors se placer à ma gorge, pressant un peu, et je sentis qu'il baissait mon string et qu'il mettait à l'entrée de mon cul son sexe.

« -Hmmm... ahh...rrêtez...ohhh... »

Je le sentis pousser... forcer... pousser... jusqu'à le sentir entièrement dans mon derrière. J'en pouvais plus... mon corps ne répondait plus à mon cerveau, et se cambrait autant qu'il le pouvait en réponse à ses aller-retours persécutants et, parfois même, violents.

« -T'aimes ça, hein ?

-Mmmmmh... oui... t'arrête pas... »

Il se retira, me laissant complètement déboussolée, et pressa ma bouche d'aller à la rencontre de son sexe. Il agrippa mes cheveux des deux mains et commença à faire la même chose qu'il faisait tout à l'heure, non pas avec mon cul, mais avec ma bouche... Il baisait ma bouche, littéralement.

Excitant... à en couper le souffle. Jamais je n'avais eu de partenaire aussi violent... mais un peu de virilité dans ce monde d'hommes efféminés ne pouvait pas faire de mal.

« -Petite pute, vas-y, suce-la. Suce-la jusqu'à dégueuler. Oh oui... oooooh... mmmmh... Oui comme ça... continue, sale chienne. T'aimes quand on t'appelle comme ça hein ? »

Le peu qu'il me laissait de répit servait à reprendre mon souffle et surtout, à lui répondre. Evidemment, que j'aimais ça... ça fait juste bizarre au début.

Il continua, continua... jusqu'à ce que l'ascenseur se remette en marche.

Au même moment, il jouit au fond de ma gorge, presque sans se soucier du fait que je pouvais m'étrangler.

Je me relevai, lui jetant un regard furieux mais passionnel à la fois. Pendant que je remettais mes habits à leur place, il me tripotait les fesses.

Jusqu'à ce que l'ascenseur s'arrête et que les portes s'ouvrent.

« -Bonne journée...

-Mon cul, oui.

-Oui, ton cul, c'est cela... »

Je soupirai et sortis de l'allée, où mon amie Marguerite m'attendait.

Chocolatine11

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